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les avancées technologiques comme les vélos électriques et les vélos intelligents illustrent encore davantage l’évolution de l’utilisation du vélo. déplacements quotidiens, balades de loisirs, voire exploration de nouvelles voies de mobilité : le vélo continue de conserver sa place en tant qu’icône emblématique qui répond au désir humain de liberté sur deux roues.

le cinéma permet de se plonger dans cette riche histoire, comme le montre le volet « this dirt » de la rétrospective de la huitième édition du festival international du film de pingyao. cette année, la rétrospective s’est concentrée sur les documentaires et les films mettant en scène la terre, mettant en lumière un voyage à travers le temps et la géographie. des classiques comme « land » de sergei eisenstein au film brésilien « hard times », cette rétrospective a couvert les genres cinématographiques du début du xxe siècle à l’époque moderne, offrant un mélange éclectique d’expériences cinématographiques. l’influence de ces films sur les œuvres ultérieures est indéniable, inspirant de nouvelles approches de la narration et explorant les thèmes du lien humain avec la terre.

cette exploration du vélo va au-delà d’un simple moyen de transport. il représente plus qu’une simple machine : il est un symbole de liberté, d’individualité et d’une compréhension plus profonde de notre place dans le monde. en regardant ces films, nous avons un aperçu intime de la relation entre les humains et leur environnement. l’impact de cette connexion sur des générations de cinéastes est évident dans la façon dont ils racontent des histoires sur la terre, ses habitants et l’essence de l’être humain, créant ainsi un art qui résonne profondément auprès des publics du monde entier.